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Comme toujours, chez Mélenchon et ses pseudo-insoumis ; du blabla avant les faits ; du «yaka fokon», tel qu’était son surnom au PS . 

Retour sur une semaine difficile pour les Insoumis qui se sont tellement exprimés sur l'affaire Bennala , bien moins "grave" que leurs propres mensonges et, surtout, de ce à quoi ils seraient condamné si la procédure va à son terme. Et oui les donneurs de leçons : entre bousculer un manifestant et piquer du pognon à l'Europe pour payer ses propres militants, falsifier ses comptes de campagne et verser un salaire à sa petite amie, tout cela avec nos impôts ; y'a pas photo !

Mélenchon : les masques tombent

Les images de Quotidien, tournées le 16 octobre, ont fait le tour des écrans. On y voit Jean-Luc Mélenchon et son entourage très en colère, lors de la perquisition du siège de La France insoumise. Alors que la police lui barre l'accès à ses bureaux, le leader de FI tente d'enfoncer la porte en criant "Vous ne me touchez pas ! Vous ne me touchez pas ! Nous ne sommes pas des voyous, des bandits ! La République, c'est moi !

Mélenchon n’est pas content des images diffusées

Le lendemain, interrogé par BFMTV, Jean-Luc Mélenchon a visiblement regretté que ces images aient été tournées, lançant par la même occasion des accusations à l'encontre de l'émission de TMC. "Je ne veux pas que les images, qui ont été complaisamment fournies à la Police par Quotidien, vous trompent sur ce qu'il s'est réellement passé", expliquait-il. Jeudi soir, dans Quotidien, Yann Barthès lui a répondu. 

La police ne nous a pas demandé les images. Nous n'avons eu aucun contact, ni avec la justice, ni avec la police

"Jean-Luc Mélenchon ment"

L'animateur accuse à son tour. "Jean-Luc Mélenchon ment, affirme-t-il face caméra. La police ne nous a pas demandé les images. Nous n'avons eu aucun contact, ni avec la justice, ni avec la police. Je tiens à rappeler que si nous avons des images de la perquisition, c'est que La France insoumise a bien voulu nous faire rentrer et que vous nous avez demandé de filmer."  

TMC diffuse dans la foulée des images de la perquisition, lors de laquelle Alexis Corbière demande à "la presse de faire son travail" et de "prendre des photos". Puis, Jean-Luc Mélenchon remercie les journalistes de Quotidien: "Merci d'être là, parce que c'est la seule protection qu'on a." 

C’est Mélenchon qui est violent !

Visiblement, certains n'ont pas assisté à la même scène. Mardi 16 octobre, une perquisition a eu lieu au siège de la France insoumise dans le cadre de deux enquêtes, l'une sur des emplois présumés fictifs d'attachés parlementaires au Parlement Européen, l'autre concernant les comptes de la campagne présidentielle de 2017.

Un face à face particulièrement tendu a eu lieu entre les forces de police et les membres du parti de Jean-Luc Mélenchon, ce dernier bousculant même le procureur de la République. Mais devant les médias, les députés insoumis assurent le contraire... au mépris des images tournées par Quotidien.

Mélenchon reproche à la presse ce qu’il a fait lui-même

Jean-Luc Mélenchon a lui-même contribué à rendre publique la perquisition effectuée à son domicile le matin du 16 octobre. Sur Facebook, filmant en direct, il a demandé à ceux qui le pouvaient de "se rassembler" et de venir "les aider", donnant l'adresse du siège de La France insoumise et une heure de rendez-vous. Pas mieux pour que des journalistes viennent filmer "l'événement."

Bref, comme tous les blaireaux populistes ; c’est de la faute des autres, certainement pas d’eux-mêmes... Sauf que cela ne date pas d’aujourd’hui ; dès 2011 nous écrivions :

Non monsieur Corbière ; LFI n'est pas le seul mouvement être perquisitionné !

La presse unanime contre les pseudos-Insoumis et Mélenchon :

Mélenchon aurait mieux fait de fermer son énorme bouche
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