Suite à notre article sur les fraudes du Front national au Parlement Européen , Bruno Gollnisch vient de nous envoyer un droit de réponse que nous publions tel quel, sans retirer ni ajouter une seule phrase. Nous lui avons répondu en lui posant une question simple ; nous vous tiendrons au courant de son éventuelle réponse.

Monsieur le directeur de la Publication, 

Ayant été cité au sujet du contentieux relatif à certains assistants parlementaires européens, je vous serais très reconnaissant de bien vouloir porter à la connaissance de vos lecteurs ou auditeurs la présente mise au point, prévue par l’article 13 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881, ainsi que par l’article 6 de la loi du 29 juillet 1982 et le décret du 6 avril 1987. 

Le texte à publier figure ci-après. Vous en remerciant par avance, et me tenant à votre disposition pour tout débat contradictoire ou tout renseignement complémentaire, je vous prie, M. le Directeur, d’agréer l’expression de mes salutations distinguées, 

Bruno Gollnisch, député européen 

Assistants Parlementaires Européens : Mise au point de Bruno Gollnisch 

Vous avez fait état de ce qu’un administrateur du Parlement européen, agissant sur ordre, prétend me réclamer le remboursement de six années de salaires d'un de mes anciens assistants. Et ce au seul prétexte qu’il aurait aussi coopéré avec mon collègue parlementaire Jean-Marie Le Pen, de façon pourtant légale, normale, et publique. 

Cette « décision » a été prise sans même avoir entendu ni mon assistant ni moi-même, et au mépris de tous les principes juridiques. Elle fait partie d’une persécution visant tous les opposants à l’Euro-Mondialisme, relayée par des « fuites » orchestrées, et donnant lieu à des articles et dépêches approximatives tant sur les chiffres que sur le fond. 

J’ai prouvé abondamment le travail réel de mon collaborateur pour mon compte, par constat d’huissier et par plus de 600 pages de documents, à la disposition des commentateurs honnêtes. J’ai déféré cette décision aux questeurs du Parlement et à la Cour de Justice de l'Union européenne de Luxembourg. J’en réclame l’annulation, et des dommages-intérêts compensant le préjudice de cette procédure inique téléguidée par des adversaires politiques.

 

Droit de réponse de Bruno Gollnisch
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